TURQUIE Massif du Taurus
Le Taurus est une longue chaîne de montagne du sud de la Turquie. Nous étions dans sa partie haute au Nord-Est (vers Dermikazik à l’Est de Nigde)

C’est un massif assez haut puisque qu’il va gratter le ciel bleu à plus de 3700 m

Autant dire qu’on passe assez vite dans un monde très minéral

Les plantes ont souvent une philosophie du genre « si tu m’mange, j’te pique »

Les roches montrent une érosion importante, crêtes irisées et nombreux pierriers

Des bergers nomades viennent pourtant chercher la fraîcheur et quelques pousses pour nourrir leurs moutons

Ce sont des gens très accueillant, qui invitent les promeneurs a venir boire le thé sous leur tente. Echange très sympathique malgré la barrière de la langue.

… mais il faut repartir affronter ces hauts plateaux …

La mule est le 4x4 du coin

On retrouve une végétation plus touffue plus bas


Des nuages sombres s’installaient tous les jours sur les crêtes, ils auraient fait fuire un « alpin » prudent ... mais finalement se transformaient peu en orage ! L’aspect des crêtes montre quand même que ça doit arriver …

Le loup est présent et leur image par les bergers est bien différente de celle en France !
Le loup fait parti de leur quotidien « y’a des loups dans le coin » et ils complètent toujours par « .. et des chiens errants ». Ni amour ni haine, juste un élément à prendre en compte.
Pour cela ils gardent leur troupeau de prêt, la nuit un berger dort avec les betes.
Ils sont surtout une aide puissante avec le chien KANGAL, un monstre de 60 kg, affublé de collier anti-morsure … mais très gentil, ils viennent se faire caresser ! (comportement bien différent de nos patous)

Une végétation parfois malade (un priori un insecte en cause !), peu de faune observée (vautours fauves, un jeune aigle royal, quelques petits rongeurs style « marmotte »), le Taurus est pourtant sublime …
C’est un massif assez haut puisque qu’il va gratter le ciel bleu à plus de 3700 m
Autant dire qu’on passe assez vite dans un monde très minéral
Les plantes ont souvent une philosophie du genre « si tu m’mange, j’te pique »
Les roches montrent une érosion importante, crêtes irisées et nombreux pierriers
Des bergers nomades viennent pourtant chercher la fraîcheur et quelques pousses pour nourrir leurs moutons
Ce sont des gens très accueillant, qui invitent les promeneurs a venir boire le thé sous leur tente. Echange très sympathique malgré la barrière de la langue.
… mais il faut repartir affronter ces hauts plateaux …
La mule est le 4x4 du coin
On retrouve une végétation plus touffue plus bas
Des nuages sombres s’installaient tous les jours sur les crêtes, ils auraient fait fuire un « alpin » prudent ... mais finalement se transformaient peu en orage ! L’aspect des crêtes montre quand même que ça doit arriver …
Le loup est présent et leur image par les bergers est bien différente de celle en France !
Le loup fait parti de leur quotidien « y’a des loups dans le coin » et ils complètent toujours par « .. et des chiens errants ». Ni amour ni haine, juste un élément à prendre en compte.
Pour cela ils gardent leur troupeau de prêt, la nuit un berger dort avec les betes.
Ils sont surtout une aide puissante avec le chien KANGAL, un monstre de 60 kg, affublé de collier anti-morsure … mais très gentil, ils viennent se faire caresser ! (comportement bien différent de nos patous)
Une végétation parfois malade (un priori un insecte en cause !), peu de faune observée (vautours fauves, un jeune aigle royal, quelques petits rongeurs style « marmotte »), le Taurus est pourtant sublime …
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